Header icon

Cancer de la vessie Généralités

L'Institut du Cancer de Montpellier dispose d'une équipe multidisciplinaire, experte dans la prise en charge des cancers uro-génitaux.

Notre établissement est un centre de référence dans la prise en charge du cancer de la vessie à Montpellier.

Avec une incidence estimée à 10 729 en 2009, le cancer de la vessie se situe au 7e rang des cancers les plus fréquents en France.

La vessie est un organe du système urinaire : sa fonction est de recevoir l'urine produite par les reins puis de la conserver avant son évacuation au cours de la miction. L'urine arrive dans la vessie par les uretères et est émise via l'urètre.
La vessie peut contenir de 200 à 500 ml de liquide chez l'adulte. Vide, elle mesure une dizaine de centimètres de long. Très extensible, cet organe se situe tout en bas de l'abdomen, dans le bassin
Chez l'homme, la vessie est devant le rectum, avec en dessous la prostate, glande entourant l'urètre. Chez la femme, la vessie se trouve devant le vagin et l'utérus.

Fonctionnement de la vessie

Quand la vessie est pleine, un stimulus est envoyé au cerveau pour communiquer l'envie d'uriner. La contraction du muscle des parois de la vessie combinée au relâchement des sphincters permettent l'évacuation de l'urine. A la fin de la miction, les sphincters se resserrent pour un nouveau remplissage de la vessie.

Un peu d'épidémiologie 

Avec une incidence estimée à 13 074 en 2018, le cancer de la vessie se situe au 4ème rang des cancers les plus fréquents chez l’homme et au 13ème rang chez la femme, en France. Son incidence et sa mortalité ont diminué depuis 1990 dans les deux sexes. L’âge moyen au diagnostic est de 73 ans chez l’homme et de 73 ans chez la femme.

L'incidence en baisse est probablement en rapport avec une diminution de l’exposition aux principaux facteurs de risque de ce cancer : le tabac et certains carcinogènes chimiques d’origine professionnelle.

La prise de certains médicaments (cyclophosphamide en particulier), un antécédent d’irradiation pelvienne ou de bilharziose urinaire sont également des facteurs de risque. 

Source INCa 

arrow-leftarrow-rightchevron-downchevron-leftchevron-rightchevron-upchevrons-leftchevrons-rightdirectory-placeholderexternal-linkfacebookfooter-bgicon-accounticon-annuaireicon-cakeicon-contrasted-officon-contrasted-onicon-donationicon-downloadicon-mailinstagramlinkedinlogo-choositlogo-spiriitmore-verticalplaysearchshare-2twitterviadeoxyoutube